Pour te revoir. ( Maa ChOuute Staaw <3 )

( Désolé c'est un peu court, j'ai pas d'inspi pour le débit d'un toto )
Shara était sur ses terres. Elle se reposait dans la pleine de l'Abondance. Elle était revenue il y a quelques jours depuis qu'elle a vu Etravaganza Alcohol. Ca fait bien trois jours qu'elle là vu. Ils se sont quittés sans un mot, c'était clos. La dominante se coucha sur l'herbe bien moelleuse, sous un arbre. Elle soupira profondément. Peut-être qu'il viendrait. Peut-être pas. Mais ca l'étonnerait qu'il vienne parce qu'il ne faisait pas partie des clans des lumineux. Il était rebel. Et il le restera surement. Shara était donc couchée et allongea son encolure pour brouter un petit peu. La jument était dans ses pensées, réfléchissant à tout et à rien, justement XD. Elle attendait surtout qu'une présence se manifeste, dans l'espoir, surtout, que ce soit Etravaganza Alcohol.

La pluie n'était pas là, ni le soleil, juste le ciel bleu. Pas bleu petant, bleu. Elle ne savait que faire à part brouter, mais elle avait faim donc autant le faire XD. Shara décida d'attendre quelqu'un ou quelque chose qui soit bon signe plutôt que mauvais parce que sinon elle y perdrait sa peau mDrr.

(désolé hein)

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NO ONE

No one, no one, no one
Can get in the way of what I'm feeling
No one, no one, no one
Can get in the way of what I feel for you, you, you
Can get in the way of what I feel for you

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Que du vert. Horrible. Et pourtant, je l'observais, ce vert répugnant. Je le regardais, d'un œil pensif et inattentif. Distrait et amusé. J'ai commencé à avancer, d'un pas lent et irrégulier, arrachant de l'herbe de temps à autre, sans rien dire. Je ne faisais pas d'autres gestes. Je me demandais ce que je faisais là, sur ces terres des Lumineux. Ils ne m'en voudront pas, il parait que ce sont des êtres sensibles et gentils. Il parait que leur dominant est Shara. Je ne le savais pas avant de l'avoir rencontré. Et donc je marchais, à sa recherche dans un sens. Calme, je n'aurai pas pété un câble si je ne la trouvais pas. Après tout, ça n'était qu'une rencontre simple. Et je marchais. De toute façon, si je la voyais, je partirais. Je n'aime pas faire durer les amitiés. Peut-être qu'elle si mais pas moi. Parce que je suis toujours un HLL dans un sens. Un rebelle. Et j'assume ce que je suis, et ce que j'étais, sans chercher à tout cacher. Même si je cache et je mens. Je suis comme ça, je ne cache pas mes défauts, je les met à découvert, pour qu'on sache qui je suis. Et là, j'ai vu une ombre couchée. Je n'ai pas henni, et je me suis approché.

En me rapprochant, j'ai vu que c'était Shara. Elle avait du me voir. Discrètement, j'ai continué ma route. Je ne sais pas pourquoi je la fuyais. Mais si elle voulait me parler, elle pouvait venir, je suis toujours ouvert. Et je me suis immobilisé, lentement, j'ai fais volte-face, revenant sur mes pas. Je me suis tenu devant elle, les yeux regardant à terre. Je suis resté silencieux.

Shara avait fermé les yeux depuis quelques minutes, lorsqu'elle entendit un léger bruit martelant sur le sol. Un cheval. Mais qui ? Le conaissait-elle ou pas ? Quand elle ouvrit ses yeux, un étalon était en face d'elle, les yeux fixant le sol. Et là, elle reconnu Etravaganza Alcohol. Elle fit un petit hénissement, pour qu'il la regarda. Il avait l'air de ne plu rien avoir à foutre d'elle. Mais si il le prenait comme ça, qu'il s'en aille, parce qu'elle en avait un peu marre. Pourquoi ne devenait-il pas sensible, ou du moins, pourquoi n'essayait-il pas ? Ca aurait été un bon début. Mais il n'essayait même pas. Et pourquoi ? Parce que Monsieur croyait que Shara n'avait plus envie de lui parler, ou même, il voulait finir les amitiés tout de suite. Et si ca tombe, il l'avait déjà même oubliée.

Mais Shara ne ferait plus d'efforts à le connaître, à essayer qu'il l'apprécie, qu'il lui donne enfin un sourire qui était vrai, et non pas qu'il ne pensait pas. Donc, elle ne se leva même pas et ne prononca rien du tout, même pas une phrase, même pas un mot. Shara l'aimait bien parce qu'il était DIFFERENT. Elle avait envie de le comprendre. Parce qu'elle savait qu'on n'avait qu'une vie et fallait en profiter. Elle referma ses yeux, vraiment déçue...

Je me trouvais face à elle, sans savoir que dire. Pour une fois, j'étais gêné de n'avoir rien à lui dire. Il leva la tête, pour l'observer comme pour se mémoriser une bonne fois pour toute son petit visage angélique. Et je ne me sentais toujours pas heureux. Normal, le mot bonheur n'existe plus chez moi. Un maigre sourire s'installa sur mes lèvres noires. Je me suis approché, mordillant son encolure doucement, faisant attention de ne pas lui faire du mal comme quand je lui ai mordillé ses naseaux. A quoi bon parler dans ces moments, les mots n'auraient servi à rien. Le geste était évidemment amical, et pas amoureux comme penserait certains (Hein Crush qui va lire ce p'tit sujet hein =P). J'ai laissé glisser mes naseaux jusqu'à son épaule, soufflant un souffle chaud sur sa peau. Je me suis reculé, baissant le regard par terre.

Je n'avais pas envie de parler. Pas maintenant. Je me suis mis à brouter, près de la jument. Je me suis couché dans l'herbe, posant ma tête contre l'herbe, faisant un point sur ce lieu. Herbe fraiche et rembourré. Que demander de mieux ? J'ai fermé les yeux, soupirant. Je ne dormais pas non. Je plongeais dans mes pensées, comme d'habitude.

La jument ouvrit les yeux parce qu'elle sentit quelque chose. L'étalon était en train de lui faire des gestes amicaux. Et un maigre sourire se dessina sur les lèvres d'Etravaganza Alcohol. Alors elle sourit. Mais faisait-il ça comme ca, juste parce qu'elle avait décidé de ne plus faire d'efforts si il n'en faisait pas, ou le faisait-il vraiment avec l'intention de le faire ? Je suis compliquée je sais mDrr. Elle se laissa faire puis chopa la crinière de l'étalon et le tira vers elle. Elle lui mordilla ses naseaux et ce fut tout. Il se coucha ensuite. Elle se laissa "roulée" vers lui et était à présent collée à lui. Elle colla ses naseaux contre les siens et ronflota de-dans, soufflant son air chaud dans les siens. Shara ferma les yeux, veillant à ce qu'il ne parte pas, pour ne pas la laisser toute seule. Elle n'avait pas envie qu'il parte. Pas la moindre envie. Elle resta collée à lui pour ne pas qu'il parte. Etait-ce donc ca être "amis" ? Alors il était son premier "ami". Elle se reposait, collant sa tête à celle d'Etravaganza Alcohol. Il était quand même gentil à ses yeux. Ce n'était pas le pire criminel au monde qui puisse exister. Et aux yeux de Shara, il ne l'était pas du tout. Puisqu'elle n'a pas été là pour voir tout ce qu'il a fait. Shara prononca de douces paroles, elle était si bien près de lui en ce moment, enfin, revenons-en à nos moutons. Elle lui dit d'une voix douce...

- J'veux pas qu'tu partes...

Elle était vraiment bien près de lui. Elle gigota un peu mais se remis en place.

Et je faisais semblant d'être heureux, pour lui faire plaisir. Je la sentais se coller à moi, je ne bougeais pas, je n'allais pas partir comme elle le craignait. Alors, je reposais ma tête contre l'herbe fraiche, j'en mangeais même. J'écoutais le bruit des oiseaux, je sentais ses mordillements, ses naseaux collés aux miens. Et je faisais pareil. Je tiraillais les crins de la jument blanche, faisait glisser mes naseaux de son encolure jusqu'à sa petite épaule. Soufflant un air chaud dessus, je me permettais de mordiller sa peau. Entre autres, j'enfouissais aussi mes naseaux sous le peu de crins qui remplissaient son encolure. Couché en vache, je collais mes naseaux contre les siens, me perdant à jamais dans l'éclat de ses yeux noirs. Je détournais le regard. Elle me croyait peut-être parfait, je ne l'étais pas. Comment pourrait-elle savoir que si ça se finissait en amour -ce qui était probable-, elle ne savait pas qu'il la tromperait avec une autre, soit il la lâcherait au bout de deux jours, sans raison. Et je faisais semblant d'être heureux. Que voulez vous, c'était mon caractère, instable et volage. Et je pensais qu'elle ne le savait pas. Et je grattais amicalement son encolure, son épaule, son petit dos. Je me suis dégagé et j'ai posé mes naseaux contre les siens, appuyant.

- Je n'allais pas partir.

Dis-je simplement, sans sentiment, comme à mon habitude.

La phrase de l'étalon la rassura. Mais Shara se rendait compte qu'il faisait semblant. Il ne pouvait certainement pas être heureux, d'un coup, comme ça, juste grace à elle, ou alors c'était un ange Shara ! Alors elle le regarda avec des yeux sombres et se releva. Elle lui chota de près à la figure, heureusement il n'eut rien. Pas une égratignure car elle ne voulait pas le blesser et le mettre en colère. Elle se cabra près de lui, shota, coup de cul, tout ce qu'elle voulait. Elle arrêta de gigoté et le regarda avec des yeux sombres noirs, pour qu'enfin une larme coule. Une larmine cristalline. Elle se retourna, les fesses à la tronche de l'étalon. Elle se doutait bien qu'il cachait son jeu. Quand il lui a ranconté son passé, c'était pas possible qu'il se soit arrêté comme ça tout d'un coup d'être mechant et d'arrêter de saillir de force. Un monstre ? Shara s'en voulait. Elle n'avait pas réussi à le changer. Elle n'y était pas arrivée et n'y arriverait probablement pas. Elle prononca une parole, un peu en sanglot. Elle retenait ses larmes de couler, elle ne voulait pas se montrer faible devant justement les plus faible, et je parle là d'Etravaganza Alcohol.

- Pourquoi t'as cherché à me mentir ? J'aurais pas pu te rendre le sourire comme ça. Impossible. Et quand tu m'as raconté ton passé, j'pensais que t'avais arrêté d'être mechant et de saillir de force. Mais c'est aussi impossible, ça. J'en ai marre de toi. J't'apréciais énormément. Si ca tombe ces trois derniers jours t'as déjà saillit une jument. Et après, comment veux-tu qu'on te pardonne tes erreurs ? T'es vraiment qu'une c*nnard. J'te déteste. T'aurais pu faire un effort pour moi. Mais tu l'as pas fais hein. Tu veux que j'te dise ? TU PENSES QUA TA PETITE PERSONNE ET PAS AUX AUTRES. T AS ABUSE DE MA CONFIANCE.

Les larmes ruisselaient sur les joues de Shara. Déçue, désesperée, trahie, et en plus de ça, en larmes.

Je me suis relevé à mon tour, regardant les belles fesses qu'elle m'offrait XD Je n'allais pas être agressif, ce aurait été l'attitude d'un lâche. Non, non. J'ai écouté son petit discours, sans être triste, un sourire à moitié pervers aux lèvres. Et c'est maintenant qu'elle s'en rend compte ? Et bah, elle a des yeux la Demoiselle ou pas ? J'en doute. En attendant, je ne peux pas changer. J'ai écouté. Attentif, pour une fois. J'ai collé mon poitrail fin contre ses fesses, mordillant la base de sa queue. Je m'attendais à ce qu'elle se défende, mais j'ai l'air tellement séduisant... 8] Ça ne pouvait être que agréable de ma part. Surtout de ma part. Moi, l'étalon solitaire, c'est maintenant qu'elle découvrait mon vrai moi. En tout cas, ça m'encourageais à continuer à jouer, car elle ne s'en était rendu compte que 3 ans après. Eh ben. J'ai caressé sa cuisse, regardant au passage la petite cicatrice. Oh tiens, et si il y en avait une de l'autre côté ? Et si c'était moi qui la faisais ? Oh non, j'ai attendu, c'est toujours mieux d'attendre. En attendant, elle était bien naïve de m'offrir ses fesses comme ça. Elle aurait du s'en rendre au début. C'était trop tard... Et je lui caressais la croupe, d'un sentiment faux. Et puis si elle était assez naïve pour encore croire que je l'aimais. Eh ben, j'aurai la preuve que des naïfs, ça existe dans ce monde.

- Laisse moi faire ma belle...

La retenant, j'ai continué de caresser, de chatouiller, de mordiller. Oh que c'était drôle. J'ai même osé faire un tour sous sa queue. Bon, comme c'était pas les chaleurs, évidemment, je ne pouvais pas sentir les parfums. Mais bon, c'est toujours intéressant une exploration de sous la queue. Je pointais mes oreilles, je faisais durer le plaisir, j'aimais ça. Je ne doutais plus, j'étais vraiment fou. Mais c'était drôle à voir, à faire. La petite Shara était devenue... mon jouet. Et je m'amusais bien. J'aimais bien passer mes naseaux sur sa douce peau blanche.

Shara sentit qu'il commencait un petit jeu qu'elle n'appréciait pas tellement. Elle lui shota à la g*ule et se retourna vers lui. De quel droit se permettait-il de la toucher ? Aucun droit. Il n'avait aucun droit ! Elle se débatta, et quand elle sentit qu'il pénétrait sous sa queue, elle plaqua ses oreilles contre sa nuque. Il était pas gêné. Elle se retourna, collant son chanfrein contre celui d'Etravaganza Alcohol, les oreilles toujours plaquées contre sa nuque. Elle arriva près de son dos, et se cabra. Mais ses sabots arrivèrent sur le dos de l'étalon qui était asser chaud boulette. Elle n'avait pas apprécié ce comportement là. Et il ne fallait pas penser que Shara était pareille que toutes les autres juments : gentille, qui croit à tout, une grosse naîve quoi. Non, elle était tout le contraire, et elle ne se laissait pas faire, elle savait se battre et se défendre. Et contre ce monstre, sa vie était en jeu. Il fallait qu'elle se batte pour ne pas y laisser sa peau. Et elle se défendrait. Shara s'était jurée de se laissé saillir juste par celui qu'elle aime. Et ce n'était pas lui. Peut-être que ca aurait été lui s'il avait changé, au moins un peu. Elle s'était bien faite roulée dans la farine p*tain !

- TOI, me touche pas, s*lopard. Franchement, tu croyais que j'allais t'aimer pour qu'ensuite tu veuilles me saillir de force ? Dans tes rêves sale c*n ! J'aurais pu t'aimer. Mais je n'aime pas un monstre. J'suis pas la jument fragile de qui tu vas pouvoir abuser facilement ! Va te trouver une autre proie. Si je t'avais aimé, bien sur que fondé une famille serait bien, mais franchement, t'as vu ta g*ule ? T'as vu ta mentalité à la c*n ? Va t'faire foutre !

J'allais me cabrer, et en douceur hein, c'est pas tous les jours, quand elle commença à gigoter. Je la mordis bien fort, qu'elle comprenne que bouger n'était pas la meilleure chose à faire. Surtout dans ce moment. Et voilà que l'autre bouffonne lui lançait ses sabots sur le dos. Non mais. Eh bien, on change vite quand on apprend des petites choses sur moi. Héhé, mais bon. Quoiqu'il se passe, je monterai dessus, sans pour autant la saillir. Juste pour le plaisir, vous savez. Juste pour retrouver la sensation que ça fait de se retrouver sur le dos d'une jument qui ne le veut pas. C'est drôle, drôle. Je lui ai mordu l'encolure, pour qu'elle se tienne tranquille non mais oh. J'étais pas de son clan, ça tombait bien. Avec un peu de mal, je réussi à la coincer entre un arbre. M'avançant à pas lents, je repris la même position. Une dernière fois sous la queue, la bloquant une bonne fois pour toute, je lui caressé la cuisse une dernière fois avant de me cabrer en toute souplesse. Waouh, vous avez vu comment c'est beau une masse alezane cabrée ? Je suis retombé sur le petit dos de la jument, l'enserrant avec fermeté avec mes sabots, mordillant sa petite épaule, joueur. Non, je ne la saillissais pas, oh que non. Même si j'avais envie de salir sa réputation une bonne fois pour toute, je ne le faisais pas. C'était pas les chaleurs de toute façon.

- Arrête de gigoter, on est pas bien là, tous les deux, sans personne pour nous déranger ?

Sans personne, bien heureusement. Bon, il se foutait un peu de sa poire dans ses paroles, mais bon XD Je faisais donc durer le soi-disant plaisir, restant sur son dos un peu de temps. Oh mais j'étais bien, confortable ce petit dos. Bon, il a bien fallu que je redescende. Et donc je suis redescendu, à contrecœur, frôlant sa croupe avec mon sabot. Eh ben, maintenant, elle pouvait partir, j'en avais assez profité. Un jouet, ça s'use et ça lasse trop vite.

Shara le vit la coincé et monter dessus. Elle pouvait se tuer en faisant ça... mais elle tanta le coup. Elle se cabra avec l'étalon dessus. Comment avait-elle fait pour porter deux poids ? Je n'en sais rien moi même. Mais elle tenait à sa virginité XD. Une fois liberée, elle couru vers lui et le morda bien fort aux naseaux, qui étaient extrêmement sensibles chez les chevaux. Pour ce qu'il lui avait fait... Il l'avait mordue ! Elle se cabra sur lui, un sabot sur son dos, un sabot sur le chanfrein, paf dans la gueule. Bien fait. Il ne méritait que ça. Qu'on abime ça si jolie robe. Elle aussi voulait saboter la réputation du mâle, encore plus qu'elle ne l'était déjà. Elle était en train de lui rabaisser son caquet, et il devenait de plus en plus laid car il prenait des coups sur sa belle robe. Elle avait un sourire ironique, fière de lui avoir fait subir ça.

- Tu vas me dire de quel droit tu me fais ça ? Je t'ai aimé en tant qu'ami. Mais tu gaches tout. Tu ne pense qu'a toi. Et mes paroles ne te font pas réfléchir, pourtant tu devrais. Tu ne pense pas à la réputation des autres juments qui ne veulent pas ça ? Pourquoi n'aimes-tu pas la jument qui est la plus belle à tes yeux, qui t'aime, que tu ne salira jamais la réputation, c'est à dire ne jamais la tromper, et la saillir autant de fois que tu veux, chaleurs ou pas chaleurs ? Au moins t'arrêterais de faire du mal aux autres ! Aime une petite chaudasse de m*rde et fous moi la paix. J'pense pas être prête à te pardonné. De toute manière tu ne m'as jamais aimé en tant qu'amie, tu as abusé de moi. Toi, présenté excuses un jour ? Tss. J'pense pas non.

La jument avait toujours ce regard sombre...

J'ai compris. Tout me revenait maintenant. Je me suis immobilisé, les yeux à terre, j'ai fais volte-face. Je me suis enfui, comme un lâche. J'étais un lâche. Elle avait raison, j'étais un fou et un con. Pourquoi j'avais fais ça ? Je pensais que ça ne m'arriverait jamais. Et c'était revenu. Je m'en rendais compte un peu tard aussi. Elle n'acceptera pas de me donner une nouvelle chance. Je fuyais lentement, sans regarder derrière moi. Sans la regarder. Je n'osais plus, de toute façon. Elle ne me pardonnera jamais, et c'est ça qui... qui, je ne sais pas. Ma vue s'est brouillée, je suis tombé à terre, à bout de forces. Ma tête s'écrasant contre l'herbe humide, je croyait mourir. J'aurai aimé mourir à cet instant, pour mettre fin à mes jours, pour mettre fin à cette vie. Pour en refaire une autre. Où je serais vraiment heureux, vraiment. Avec des poulains, avec une jument, un amour fou et propre. Ça ne m'arrivera plus. Plus jamais. Je suis sur qu'elle pense, en me voyant, que si je suis mort, c'est tant mieux. Elle ne viendra plus. Lentement, je me relève. Je dois me relever. Pour elle, même si elle ne m'aime pas ou plus. Mais je tombe. Je suis à bout, je suis devenu le faible. Et si elle venait, ce serait pour me ruer de coups, pour se venger. Je la comprendrais dans ce cas. Alors, adieu. Adieu le monde. Adieu Shara. Ma place n'est pas ici, mais avec les HLL, j'en suis un. Je ne pourrais pas changer. Mais que je suis faible, faible. Même pas la force de me relever. Je dois me relever, mais je n'y arrive pas. Je veux profiter de la vie maintenant. Je veux être heureux. Je veux embrasser, je veux sentir ses naseaux contre les miens, je veux la revoir tout simplement. C'est impossible. Je viens de l'user, je l'ai même mordu. Comment j'ai pu. Comment. Je suis fou, fou. Je veux, je la veux près de moi, je veux entendre ses paroles rassurantes qui n'arriveront jamais. Je veux, je n'aurai pas. Je suis trop exigeant. Je suis un fou, un pervers, un sadique. Tout ce que tu veux. Mais pardonne moi. Je t'en prie. Je ne recommencerai plus. Je te le promets. Je veux t'avoir près de moi comme le soleil qui éclaire ma robe alezane. Je t'en supplie. Je me mettrais à genoux s'il le faut. Je te sourirai cents fois pour que tu comprennes. Je me frotterai à toi cents fois jusqu'à ce que tu m'aimes. Je t'embrasserai milles fois jusqu'à temps que tu me pardonnes du mal que je t'ai fais. J'en suis conscient. Mais oublie moi. Tu n'as pas de temps à perdre avec un abruti comme moi. Alors laisse moi mourir. Laisse moi seul. Je ne mérite que ça. Mourir. Quel beau verbe. Je l'aime de plus en plus. Je ne peux pas relever. Je retomberai, devant tes yeux noirs et beaux. Je m'en voudrais. Je me tuerai. Je ne peux pas continuer à vivre ainsi. C'est au-dessus de mes possibilités. Et Dieu sait que j'en ai eu des possibilités. Plus maintenant. J'ai eu des choix qui auraient pu m'emmener sur le chemin de l'amour propre et du bonheur. J'ai toujours fais les mauvais choix. Je regrette maintenant. Et je ne lâcherai pas. Je t'aimerai toute ma vie, si ce n'est pas déjà la fin. Je te crierai des je t'aime à l'infini. Tu n'oseras plus dire que tu ne me croiras pas. Je peux commencer si tu le souhaites. Je ne suis peut-être pas capable de me lever, mais je suis capable de crier. Et je crierai, même si tu ne veux plus de moi. Et je mourrai pour te faire plaisir. Va choisir ton bonheur avec quelqu'un d'autre. Je ne suis pas celui que tu attends. Regarde ce que je suis devenu. J'irai rejoindre mes parents, là-haut, dans le ciel. Je leur dirai à quel point je t'aimais, et à quel point j'ai perdu les pédales. Je leur dirai que je les ai aimé, eux aussi, même sans qu'il me donne de l'amour. Et je t'attendrai, Shara. Autant de temps qu'il faudra. Je t'attendrai là haut, et là, nous pourrons vivre notre bonheur. Même si j'irai probablement en enfer. Qui voudrait de moi. Je serai jeté au fond d'un puits, d'un donjon, dans les flammes pour que je meure en souffrances. Et là, je mourrai à petit feu. Sans forces pour me relever. Emmène moi ou laisse moi mourir. Je suppose que tu veux me laisser mourir. Comme tu veux, mon amour. Mais sache que je t'ai toujours aimé. Toujours, même quand on ne se connaissait pas. C'est maintenant que je m'en rend compte. C'est un peu tard en effet. J'ai l'air déjà mort. Sans ta voix, sans le battement de ton cœur sous le mien, je ne peux pas vivre. Je ne peux pas. Alors s'il te plait... Laisse moi mourir. Je sais que tu ne m'as jamais aimé. Je le sais. A quoi bon me sauver, alors ? Reste ou part. Je partirai, si j'en avais la force. Je suis un vrai fou. Et tout paye un moment. Si je n'avais pas intégrer ce salop de clan de HLL. Je n'en serai pas là aujourd'hui. Je dois payer pour ce que j'ai fais. Le mal que j'ai donné à toutes les juments, le mal que je t'ai donné. Je ne recommencerai plus. Crois en moi. Je suis honnête, je l'ai décidé. Loin de toi, mon cœur ne bat plus, mes yeux ne voient plus que du noir béant. Et j'en ai marre du noir. Je t'aime. Je te le crierai à l'infini. Mais tu as raison. Alors laisses moi, part, je vais bien maintenant, j'irai bien dans quelques temps là haut. Laisse moi mourir. Mais reste près de moi jusqu'à mon dernier souffle. Merci.

Shara vit l'étalon tombé lourdement au sol. Il voulait s'enfuir. Non mais elle rêvait la ?! Il s'enfuyait ? Quel lache. Mais quand elle vit dans quel état il était, elle prit tout sur elle. C'est elle qui l'avait blessé. Elle s'approcha de lui, lentement, les larmes aux yeux. C'était trop tout ça. Elle posa ses doux naseaux tout chauds sur ceux d'Etravaganza Alcohol. Elle se laissa tomber en vache, lourdement, sur le sol tout dur, priant pour qu'il se rétablisse. Elle posa ses douces lèvres contre celles de l'étalon et ferme ses yeux, n'entendant plus le moinde bruit autour d'elle. Juste les oiseaux qui chantaient. Cette guèrre n'avait pas duré, finalement, au final... Elle regrettait son geste. Mais elle ne voulait pas être un "jouet". Elle retira ses lèvres doucement. Elle n'oubliera jamais le mal qu'il lui a fait, mais elle n'oubliera pas non plus le mal qu'elle lui a fait. Il avait compris tard. Trop tard. Mais elle avait décidé de rester à ses côtés. Elle ne voulait pas l'abandonner, non. Elle voulait l'aimer... Oui l'aimer. L'abandonner serait lache. Et Shara n'était pas lache. La dominante resta allongée en vache, attendant que l'étalon se remette sur pied. La nuit arrivera bientôt. Dans quelques heures. Dans quelques heures... Elle aimait Etravaganza Alcohol. C'était si soudain. Elle ne pensait pas l'aimer un jour. Shara voulait s'en faire un ami. Pas son amour. Mais c'est le destin qui choisit, après tout. La dominante avait les larmes aux yeux, et ses larmes étaient cristallines, elles coulaient pour aller humidifié ses naseaux bien chauds. Shara hésitait à poser une question pourtant bien simple. Et une réponse qui serait tout aussi simple. Elle savait qu' Etravaganza Alcohol était sale de passé, mais il accepterait surement, si il l'aimait. Mais cette question ne sortait pas. Elle restait près de son bien-aimé, à pleuré à ses côtés. Elle voulait être à ses côtés, pour toujours, avoir une famille. Mais elle avait peur. Elle avait peur qu'il recommence et surtout, qu'il la trompe. Mais c'était le prix à payer pour aimer. Pourtant elle priait pour qu'il ne recommence plus. Ni avec elle, ni avec une jument. Parce que de 1, cela ferait très mal à Shara si il la trompait, et de 2 , si il lui refaisait ce qu'il a fait il y a quelques minutes, elle n'aurait plus confiance en lui. L'amour rend aveugle. Et Shara devenait aveugle à cause de lui. Mais puisqu'elle l'aimait, elle acceptait, car elle était heureuse de pouvoir l'aimer comme bon lui semblait. La question que voulait poser Shara lui brulait sur sa langue. Elle était à deux doigts de la poser. A deux sabots plutôt =D XD. Alors de sa voix bien douce elle se rapprocha d'une de ses oreilles et lui souffla...

- Veux-tu dominé avec moi, Etravaganza Alcohol ?

Shara revient vers ses douces lèvres et les embrassa encore une fois, puis retira ses lèvres doucement... Tel un rêve.

Je l'ai senti venir. Mais je n'avais plus la force de la rejeter. Elle ne me méritait pas. Qu'elle aille vivre une histoire avec un autre sur qui elle pourra avoir confiance ! Mais je sentais son odeur de jument, je sentais ses baisers, et je voulais tout d'un coup me relever, lui montrer à quel point j'étais fort. Mais je restais par terre. Je savais qu'elle faisais ça juste pour ne pas que je meure à cause d'elle. Lorsque je réouvrirai les yeux, elle ne sera pas là. Elle sera loin. Elle m'aurait abandonné. Tout cela n'aurait été qu'un rêve. Je me sentais mieux. Je me sentais mieux rien qu'à l'entendre. Rien qu'à entendre ses sanglots interminables. J'ai réouvert les yeux, lentement. La lumière m'a éblouie. Combien de temps étais-je resté dans le noir ? J'avais l'impression d'être dans un rêve. J'étais dans un rêve surement. Oh si ce rêve pouvait devenir réalité. Et je disais que j'allais lui crier des je t'aime à l'infini. Je le ferai. Je le ferai, qu'importe que je sois ridiculiser. J'étais prêt. Je veux recommencer. Je recommencerai à l'aimer. Et je l'aimerai. Toute ma vie s'il le faut. Toute ma vie, je lui sourirai, je lui crierai des je t'aime. Tu n'oseras plus me dire que tu ne me crois pas, ma chère Shara, ma Shara. Je serais tien. Je t'aiderai. Mais tu ne m'aimes pas. Je le sais. Ne ment pas, ne ment plus. J'ai menti. Mais j'ai vraiment eu ce passé. Je dois apprendre. Je dois apprendre à aimer. Es-tu prête à m'aimer, toi aussi ? Je doute. Mais pas pour toi. Alors je me relèverai. Pour toi. Je te voyais, là de mes yeux brouillés. Alors, je me suis senti prêt à parler. Grâce à toi. Tu me donnes les forces que je n'aurai jamais vu. Tu me donnes des ailes.

- Je crois que je t'aime Shara...

Je ne crois pas. Je suis sur. Je t'aime. Et je t'aimerai toute ma vie. Si tu es prête à m'accepter parmi les tiens, les Lumineux. J'en deviendrais un. Je n'ai peut-être pas le passé requis, mais je t'aime, et ça compte plus que tout pour moi. Je ne pensais pas retrouver un jour ce sentiment. J'avais oublié comme il était agréable de sentir des bonds dans votre cœur lorsque vous voyez votre amour. J'avais tout oublié. Et je réapprendrai en ta compagnie. Je deviendrais un Lumineux respectable et digne de toi. Jusque là, je te méritais pas. Je ne te mériterai peut-être jamais. Mais je me relèverai, et c'est sur. Je prend mon courage dès aujourd'hui. Alors, regarde moi, et n'intervient pas. J'ai soufflé, soufflé. Et j'ai poussé sur mes pattes pour me remettre debout. Pour que tu sois fier de moi. Et je suis resté coucher en vache, dévorant tes yeux avec plaisir et malice, avec amour et amitié. Et j'ai sourit. Oh. Je ne pensais plus jamais sourire. Mais j'ai sourit. Avec le cœur, les yeux, les lèvres. Et je t'ai embrassé. Je voulais t'embrasser, sans jamais retirer mes lèvres des tiennes. Et je me suis perdu derrière l'éclat de tes yeux, derrière tes larmes que j'ai essuyé en me frottant contre toi. Il ne fallait plus que tu pleures.

Shara savait qu'il se relèverait. Elle l'aimait. Alors elle restera. Tout le temps qu'il faudra. Car elle savait qu'il se relèverait. Elle sentit ses larmes disparaître. Etravaganza Alcohol les essuyaient. Qu'elle était heureuse. Elle se releva avec l'étalon et posa ses lèvres douces contre les siennes. Elle conaissait le bonheur. Enfin. Il était temps. Oui, il était temps qu'elle trouve enfin SON bonheur. Elle savait qu'elle y aurait droit un jour. Elle se sentait reine. Reine car elle avait droit au bonheur. Shara s'était promise de rendre heureux l'étalon qui se tenait devant elle, en face d'elle. Elle colla son chanfrein contre celui de l'étalon et ronflota des naseaux. Qu'ils étaient bien, là, tout les deux, tout seuls, sans personne pour les déranger. Heureusement d'ailleurs ! Shara tenta de rassurer l'étalon. Il devait comprendre qu'elle l'aimait plus que tout. Elle voulait dominer avec lui, ou plutôt, qu'il domine avec elle, et qu'ils fondent une famille. Ce serait le rêve. Il ne fallait plus pensé au passé. Le passé c'est le passé, le présent c'est le présent. Il faut vivre avec.

- Moi aussi je t'aime. Je ne crois pas, j'en suis sur...

La jument posa sa tête contre l'épaule de l'étalon...

Dominant. Pas mal le boulot. On m'paye combien ? Si c'est 100 je t'aime par semaine, par an, ça me va. Je sentais le passé s'enterrait, j'allais commencer une nouvelle vie. Catastrophique ou non, je n'ai jamais vécu en couple. Jamais. J'allais découvrir. J'allais découvrir ce qu'était la vie de famille, les poulains dont je serai le père. Les poulains dont Shara sera la mère. Et j'abandonnerai tout pour eux. Tout. Vivement que l'on puisse enfin les avoir, ces poulains. ET j'ai collé mes flancs contre ceux de la jument, passant mon encolure au-dessus de la sienne, lui grattant amoureusement le garrot. J'ai avancé. Nous n'avions même pas profité de la plaine énorme devant nous. Et j'avançais, avant de brouter. Il fallait manger, pour ne pas que je retombe une nouvelle fois par terre. Et je suis revenue vers Shara, collant mes lèvres aux siennes, fermant les yeux et savourant le bonheur que j'aurai du avoir. Et je l'ai, aujourd'hui, ce bonheur. Je serais à toi comme ton clan. Je te serais fidèle, je te le promet. Et j'ai parcourus de mes naseaux son petit dos, m'arrêtant devant sa plaie. Si je retrouvais celui qui lui avait fait ça, je le... Non. Pas contre ce dominant. Si c'était lui. J'ai soufflé de l'air sur la blessure de la jument, puis j'ai fait le tour, passant derrière ses fesses, sans m'y coller, sans plonger mes naseaux dessous. Et je revenais vers elle, comme un pantin attiré. Et je mettais ma tête sous la sienne, en me criant intérieurement des je t'aime, et à l'infini. Je me suis décalé, j'ai soufflé dans son oreille avant d'y murmurer :

- J'en suis sur aussi.

Et je n'ai rien ajouté.

Shara se ressentait vivre. Une nouvelle vie. Un nouveau monde. Telle était sa destinée. Shara ne pouvait pas vivre sans lui. Là voila, à ses côtés, enfin. Elle avait l'impression de recommencer sa vie à zéro. Mais avec celui qu'elle aime, cette fois-ci. Un nouveau jour, une nouvelle joie. Shara n'attendait que lui. Juste lui. Ils s'aimaient, et c'est ce qu'il comptait. Elle voulait tout faire avec lui. Avoir des poulains, continué sa vie avec, et mourir avec. Ce serait bien triste de ne pas mourir en même temps. Car l'un ne supporterait pas la mort de l'autre. Mais ne parlons pas de ça. Shara avait envie de profiter du moment présent et ferma ses yeux. Elle l'aimait plus que tout

. Il était si... Je sais pas quoi mDrr ! Tout ce qu'elle prononca c'était...

- Je t'aime Etravaganza.

Elle posa ses lèvres sur celle de l'étalon et vint lui gratouiller son dos amoureusement.

(désolé c'est court mais pas d'inspi. En panne XD)

» Pour moi =) .
» Signature pour me
» Des motives pour un JDR Equin ?
» Partenariat pour se soutenir ?