Exentrique & Fou ?

Vagrant trottait la tête basculant de la gauche vers la droite. Son voyage fut rude et éprouvant pour lui et il voulait trouver un endroit pour s'y reposer, l'âme tranquille. Un bruit de crépitement attira vivement son attention de jeune poulain. Il s'approcha du bruit en question et découvrit simplement que ce n'était que des feuilles sèches d'un arbre mort. Il s'avança de ce drôle d'arbre qui n'était pas un endroit trés accueillant pour pique un bon petit somme. Le chemin sur le quel il marchait ne possédait pas beaucoup d'herbe ce qui lui laissa un peu le ventre vide. Il leva doucement la tête quand il aperçut une énorme vallée avec des montées rocailleuses et escarpentées à loisir. Un terrain de jeux de nom pour notre cher poulain à la couleur dorée. Il partit dans un petit galop cadencé. Pourquoi se fatigué maintenant alors que dans quelques instants, il allait se donner à fond dans une nouvelle aventure qui allait être extraodinaire.
Il s'arrêta devant une montée pas encore trés abbrute, il secoua la tête. Pensant que celle - ci était trop facile pour lui et qu'il allait la grimper en moins de deux. Il se déplaca encore de quelques mètres avant d'apercevoir LA vrai pente. Elle n'était pas trop verticale, ni trop praticable. Alors d'une poussé de ses postérieurs, il commença à monter et à escalader. Mais, le poulain s'est bien trop valorisé pour cette dangereuse aventure. Il tomba quelques fois sur son flanc, ou plustôt sur ses deux flancs pour peut - être nier ? Mais nier est un verbe que Vagrant ignore et ne veut pas entendre dans son propre vocabulaire. Il se remit en charge, et cette fois ci, il prit de l'élan. Et là, enfin, il réussit à ce trouver sur le " premier étage " de la montée. Trés fière de lui, il continua à monter, peut - être pas avec grâce, mais il montait à sa façon.

* La Pouliche noire pangarée à l' étoile blanche, trottait tranquillement sur un versant de la colline
ses deux fines oreilles pointée aimablement en avant, sont regard noisette balayait avidement les
allentours à al recherche d' un jeux digne de se nom, elle entrevue quelques mètres plus bas un reflet
doré, elle n' y prette guère d' attention ne serais-ce qu'un rapide coup d'oeil question de l' avoire peut-être vu.
Elle continuait ainsi sa petite escapade ses sabot ivoires foulant le sol rapidement mais, surement. En un tier de seconde
elle partie dans un petit galop vif et cadencé, relevant encore plus sa fine tête arabesque, secouant sa crinière en tout
sens tout en chassant les quelques mouches qui s' accrochaient à sa robe charbon.
Elle s' arrêta pour avaler une brindille qui s' avairait être une ronce quelle recracha immedatement, émétant un
petit son et un recul de dégout, fronssant les naseauX.

Vagrant toujours dans son escalade pentu, était trés concentré et n'avait pas entendu les bruits des pas légers de la pouliches au regards de braises. Il ne voyait toujours pas le sommet de la colline, mais il n'allait pas nier ! Oh non ! Il continua encore quelques minutes avant de s'arrêter regardant ou il en était arriver. Vagrant assez fière de lui d'avoir grimper une partie de la montée abrute de cette colline, se retourna, croyant qu'il allait voir les arbres et la plaine si petite... Mais ! Oh grand désespoir pour notre petit poulain, il se rendit compte qu'il n'avait escaladé que 2 voir 3 mètres de cette pente ! Tout déçue de cette aventure, il voulut continuer. Un bruit se fit retentir dans la plaine, ce qui fit perdre l'équilibre et le fit tomber sur le flanc droit avec un bruit telle que ... BOUUUUM !
( désolée, c'est fort court --' )

(Pas rav' ^-^)
* Natural tourna la tête en direction du bruit assourdissant qu'elle venait d'entendre.
Sur le Qui-vive elle continua sont assenssion j'usqu' à une descende un peu raide, d'une dizaine de mètres
au quart de celle-ci elle aperçus ce même reflet doré qui se "matérialisa" en une chose resemblant à un
cheval, ou une chèvre. Elle décida donc de partir à la rencontre de cette chèvre, pour la simple raison
qu'elle se faisait plus que ch**r dans cette endrois rugeux et sans amusement, ou simplement poulain(s) avec
le ou lesquels elle pouvait occuper ses pensée tout en se distraillant.
Elle mis tout d' abord un premier pied sur une petite roche brune qui s' éffrita sous sont poid, d' ailleur elle en
fut vexée et s' écria
« Vilaine pierre ! C' est pas vrai ! J'suis pas lourde d' abord ! »
Puis elle désendis cette fois en faisant plus attention boudant de moitié , posant délicatement ses sabots sur chaque pierres asser
résistantent.

Vagrant sentit une énooormes masse sur ses pauvres petites côtes qui venaient de bien soufferts à causes des milles et une chute qu'il venait de se prendre. La vue encore un peu floue, il apperçut une silhouette noire qui le traitait de grosse pierre. Il essaya de se lever pour de ce qu'il pensait de celui ou celle qui venait de l'écraser par son surpoids. Aprés quelques débats de sa part, la " chose " descendit cette fois - ci avec un peu plus de délicatesse en son égart. Il se leva comme une furie, cherchant du regard son interlocuteur. Sa vue était redevenue normale et avec son grand étonnement, elle lui redit une image d'une pouliche ( qui avait l'air quand même un peu plus âgée que lui ) noire avec un regard de braise. Un peu semblabe à celui de Vagrant. D'un air de prétentieux, il se mit à son tour sur une pierre qui était légérement plus grande que celui de la pouliche : pour qu'il soit enfaite, plus haut qu'elle.
<T''es tellement grosse que t'as pas vu ou tu marchais ! Grosse dinde ! >
Voilà c'était dis! Il venait de régler l'affaire de celle - qui - venait - de - le - piètiner - avec - lourdeur. Il s'en alla, le nez bien haut et trés fière de sa remarque. Mais Vagrant manque encore beaucoup d'assurance, et se prit dans une branche qui n'avait rien à faire sur son passage !

* Elle coucha les oreille lancant un regard surpris et Mécontent:
« Hé l' vermicelle ! Tu t' es d'jà vu dans un ruisseaux ?!!»
Elle redressa sa belle tête bonbant sont torse, pour partir dans un trot élastique,
rapide elle descendit la pende, elle gagnait du terrain par rapport à la petite chose
jaune devant elle.
(DizoWw pas beaucoup de temps =S)

Vagrant était étalé par terre à cause de sa fausse modestie. Il se croit déjà le roi des terres de Celoniel, alors qu'il n'est même pas adulte et encore moins dominant. Imaginez un peu Vagrant en dominant ? Quelle catastrophe cela serait pour le pauvre troupeau qui hériterait d'un étalon aussi têtu qu'une mule. Il s'ébroua un peu, laissant sortir des tonnes de poussières qui s'étaient mises sur son beau pelage. Une ombre noire vint le toucher, ou plustôt l'éffleurer. C'était la pouliche " Grosse - comme - une - dine " qui venait de le dépasser alaisement et de faire sa petite Princesse. Une princesse ? Ici ? Oh non ! Ici, c'est le terrain de Monsieur Vagrant et sûrement pas pour une pimbêche comme cette petite noire. Alors en sautant des quatres sabots, il partit à la charge de la pouliche qui était plus grande que lui, mais aussi plus loin dans la course. Tout de suite il eu une idée, dans sa tête, un nouveau bobard se mettait en route...
Il s'arrêta, puis tomba à la renverse hurlant de douleur comme si le ciel venait de lui tomber sur la tête. Est que la pouliche tomberait dans le jeu de Vagrant ? Il espérait de tout son coeur que celle - ci soit dupée, comme la plupart des chevaux.

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*

Et voilà ! Une fois de plus, un cheval ou plutôt devrions nous dire une pouliche noire Grosse - comme - une - dinde, venait de tomber dans le piège de Vagrant. Mais celui ci n'avait pas vraiment aperçut que le cobra était prés de lui. Il savait que si il bougeait comme un vermiceau cellui - ci allait le mordre et se serait finit de cette belle aventure ! Mais par contre si il essayait de glisser et aprés il pourrait commencer à galoper comme un taré dans le chemin abrute. La pouliche n'était pas trop prés du cobra donc cela était sans danger pour elle, sauf si elle se rapprochait de trop.
Mais celle - ci avait l'air de rester prés de lui sans se rapprocher du Cobra. Alors dans la plus grande discretion, il glissa doucement sur le coté et puis il partit en furie vers l'arbre mort prés duquel son aventure avait commencé. Il hénissa joyeux et trés content de sa manoeuvre.
< Et toi, tu t'es vu dans les yeux d'ce cobra ? Pauv' cloche ! >
Un fin nuage se dessina derrière Vagrant, la poussière de la liberté...

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Vagrant était complètement prit dans sa grande course. Il avait le regard pétillant et le poil brillant façe au soleil qui tapait sur les deux vermiceaux de la Vallée Rocailleuse. L'arbre s'approchait de plus en plus, alors Vagrant allongea sa foulée. Il restait encore quelques mètres avant l'arrivée. Il réussit à dépasser la pouliche noire qui se nommait Natural Greenery. Il la dépassa en hénissant et en riant.
< Si j'gagne, j'garde mon identité ! >
Celui - ci se voyait déjà prés de l'arbre mort de la plaine. Mais avait - il remarqué, qu'il est encore jeune et qu'il n'ait pas trés maitre de ses jambes ? Il jetta un regard en arrière, peut - être un regard de trop ? Tellement qu'il était sûre de gagner, il n'avait pas vu sur quel chemin il marchait. Sur un chemin abrute et remplit d'embuches. Et tout se passa trés vite : Il trébucha dans un nid de poule, puis fit un roulé boulé jusque devant l'arbre mort, mais il restait encore quelques mètres ! Allait - il gagner la course ?

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Vagrant avait le regard furibond. Il était à deux doigts de gagné la course contre Natural et voilà qu'elle gagne en lui disant qu'il était un petit poulain de rien du tout ? Et oui, Vagrant est un poulain trés trés susecptible à ce point de vue. Mais, quand elle posa son naseau contre le sien, il se sentit tout chose. Il n'avait jamais ressentit une pareille émotion. Il se releva, cette fois - ci sans peine et sans qu'il ne tombe sans panache. Il regardait encore la pouliche noire, il se demandait ce qu'elle faisait là. Trés bavard, il voulait lui poser pleins de questions sur elle et sur tout. Puis, il entendit, lui aussi, un bruit assourdissant. Le bruit venait d'une colline, sûrement la plus grosse. Les deux poulains avaient en regard fixe et mystérieux. Vagrant détourna son regard vers Natural. Fière, il partit au trot vers le bruit assourdissant.
< Tu viiens Naturiii ? >
L'oeil pétillant et le regard fif, il fixa la jument qu'il venait de batisé avec un surnom que lui a confectionné. Quand on est à ce stade chez Vagrant, on se considéré comme ami.

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Une lumière blanche et crue s'alluma durant une seconde et s'éteignit, remplacée par un équidé blanc comme neige, mais particulier... Il fixa la jument de ses yeux sans vie puis se retourna et s'éloigna.

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