Fuis moi je te suis, Suis moi je te fuis...

Où ira l’enfant qui, maquillée par la peur, croit fuir vers l’avenir, alors qu’en fait, elle ne va nulle part.
La peur qui sillonne dans ses oreilles et qui lui fait croire que dans la vie, tout le monde a peur… Cependant, il faut s’arrêter et fixer. En fait, sa peur la plus profonde est de voir ce qu’elle est devenue et de voir ce qu’elle ne peut être.

Ce territoire plat et impétueux portait bien son nom, c’est-à-dire, l’Étang Venteux. En plus, la température n’était pas dès plus clémente se jour là : la neige, qui était d’un tempérament plutôt froid et réserver, c’était transformé en un voile vaporeux qui dansait et tourbillonnait violement dans le vent qui menaçait de mettre au sol tout individu qui barrait son passage.
Le vent avait imposé sa loi sur cette parcelle du territoire. Les arbres ne le défiaient plus ainsi que les animaux, qui dès qu’ils entendaient sa plainte, reprenaient du galop, s’empressant de quitter cette enfer qui était dominé par la force. Voilà la réponse du pourquoi ce paysage avait cette allure terne et marécageux...

Outre, un équidé nomade avait décidé de s’aventurer en ce lieu, ternit par le manque de végétation et de civilisation, en déduit que l’endroit était enveloppé d’un silence presque inimaginable où elle pourrait contempler l’horizon en écoutant sans peur la plainte du vent…
Cependant, le dominant n’avait pas l’envie de se soumettre aux désires de la jument qui portait le nom de Afaewen : ce vent que celle-ci croyait doux et mélodieux était plutôt une sorte de chant chanter par les anges de la mort, pour lui souhaiter la bienvenue dans leur monde. L’horizon que la belle croyait que son regard se perdrait dans celui, s’était bel et bien produit. Cependant, son regard s’était perdu dans les flocons de neige qui, comme des bandelettes, commençaient peu à peu à l’ensevelir, tel une momie qu'on préparrait à mettre dans son sarcophage...
Se monde, qu’elle croyait apposant du premier regard, lui faisait maintenant frémir de peur.

Mais même pas la fatigue et l’impression d’avoir été vaincu, Afaewen avait décidé de trouver la sortie, où elle pourrait retourner dans l’ombre…
Mais soudain…

To Be Continued…
[ À vous de jouer maintenant =)
Je n'ai pas un très bon RP mais bon x) ]

(Meilleur que moi XD)

Lilly trottait sur les berges de l'étang. Il y avait une bise glaciale, et la température environnait le zéro. Mais Lilly s'en foutait, elle aimait ses terres, la terre des Ténébreux. Elle se mit à galoper, faisant gicler de la boue partout. Soudain, elle vit une jeune jument immobile, qui, apparement, contemplait ce paysage désolé. Lilly pouvait la comprendre ; ce paysage était magnifique pour elle. Par contre, comment aurait-elle pu en avoir peur ? C'était sa nature.
La tourbe dans laquelle elle galopait l'enlisait e plus en plus, si bien qu'elle s'arrêta non loin de la jument, essouflée. Elle la fixa de son regard d'ambre flamboyante.

Lilly regardait la jument. Elle ne semblait pas s'être aperçue de sa présence. La tempête augmentait, et Lilly avait de plus en plus de mal à tenir debout... Alors, courageusement, elle se dressa contre la tempête et avança le dos courbé, les feuilles voletant derrière elle. Le vent faisait danser ses crins noirs comme l'ébène dans une danse endiablée.
Arrivant près de la jument, elle l'observa attentivement,puis lui dit : " Bonjour ! " avc son regard flambyant fixé dans le prunelles peureuses de la jument.

Feu de Joie s'avança à petit pas ! Il essayait de faire bonne allure malgré son jeune âge , il savait ce qu'il fallait faire ou pas ! Bref , ce jour là , il pleuvait beacoup on aurait dit qu'un orage se preparer ! Soudain, Feu de Joie perçu deux shillouettes dans le brouillard ! Ayant vecu dans un climat froid , il avança , curieux ! Il devinait bien que dans un tel climat aucune vie ne pouvait vivre ! Il distingua tout d'abord une jeune jument (Lilly) puis une autre (Afaewen) ! Feu de Joie était un fin seducteur mais il se dit que le moment était mal choisi . Donc , il examina le paysage qui l'entourait ! Aucune civilisation n'aurait pu existait ! C'était un endroit sombre , ou le moindre bruit résonnait ! Il sentait de la présence mais aucune chaleur ne s'en dégageait ! Le ciel était triste et les quelques équidés qui se trouvait dans ce paysage restait là presque sans vie ! Puis tout à coup Feu de Joie perçu un bruit ...

[Je ne savais pas si c'était un PV donc j'ai posté ,
et pas trop d'inspiration non plus ]